No more juice au 100 avenue Kléber (Paris 16) : Mélanie Dubrigny ferme les portes très colorées de son bar à jus sexy-healthy pour se concentrer sur une toute autre activité, les bijoux vintage.
Les flamingos iconiques retournent sous le soleil californien pour laisser place aux doux camélias venus d’Orient, emmenés par Nora Kilani.
Une délicieuse nouvelle adresse à découvrir prochainement.
Le dernier service est tombé chez BUK Beldi Urban Kitchen, après de belles années à faire vibrer la rue de Laborde au rythme des épices et des saveurs du Sud. Chez BUK, Karim Ibedbou réinventait la gastronomie marocaine à coups de twist méditerranéen et d’audace orientale avec une carte ensoleillée qui portait la signature de Cédric Nieuviarts. À la même adresse, au 47 rue de Laborde (75008), aujourd’hui une nouvelle histoire commence : celle des Pimpains. Alex et David, duo complice depuis plus de dix ans, ont d’abord conquis Paris avec leur première adresse en prouvant que le sandwich pouvait aussi rimer avec saison, maison et passion. Aujourd’hui, ils voient plus grand et ouvrent leur cantine, troisième adresse tout aussi généreuse et originale. Les Pimpains, c’est toujours la même philosophie : une carte courte, des produits ultra frais, et un amour inconditionnel pour le goût.
Le dernier coup de fourchette retentit pour Hippopotamus Bastille. Pendant des années, le 1 boulevard Beaumarchais a grillé les braises en célébrant l’art du steakhouse à la française : viandes fondantes, sauces et marinades maison, pièces d’exception… et toujours cette même envie de partager un bon moment, en famille ou entre amis.Cet automne, le bœuf laisse place au poisson, et la braise s’incline devant le riz vinaigré. Un nouveau chapitre s’ouvre dans ce lieu de plus de 600 m² : bienvenue chez Nigiri. Ce restaurant japonais semi-gastronomique marie tradition et modernité dans une cuisine créative et généreuse, servie à volonté. Ici, chaque bouchée raconte un voyage et chaque poisson se fait star du comptoir. Une adresse prête à faire chavirer les amoureux de gastronomie nipponaise… maki par maki.
En plein cœur de Puteaux, sur la charmante place de l’Eglise, La Fontanella et sa belle terrasse ensoleillée ont longtemps été un refuge pour des déjeuners ou des dîners coupés du monde, digne d’une dolce vita à la romaine, dirigée non pas par Fellini mais par Thomas Sivadier. Parti sur la côte pour redonner ses lettres de noblesse à l’historique Bar de la Poste à Deauville, qu’il a transformé en Petits Princes, Thomas Sivadier a passé la main à Antony Faotto et David Janaud. Connus pour leurs restaurants festifs et bars à cocktails toujours élégants (Monkey à Ibiza et ancien Monkey à Pigalle), ils ont relooké la discrète Fontanella en un flamboyant Peppino. Et avec eux, on connaît la chanson : dans les assiettes, le meilleur de la cuisine italienne revisitée et dans les verres, des cocktails raffinés, et une ambiance orchestrée avec maestria par leur associée Katia Mesloub.
Fric Frac c’est une idée pleine de panache signée Côme et Quentin : revisiter le croque-monsieur à la sauce parisienne, le bousculer juste ce qu’il faut, tout en respectant les beaux produits. Le nom parlait déjà fort : fric-frac, clin d’œil à l’argot de la Belle Époque et à ce désir d’ouvrir une brèche dans les codes du snacking français. Pain signé Frédéric Lalos (MOF), recettes imaginées chaque saison avec des chefs Meilleurs Ouvriers de France, produits triés sur le volet. Fric Frac quitte aujourd’hui les bords du canal, mais continue de nous régaler du côté de Montmartre, au 4 rue des Trois Frères, Paris 18e, un rendez-vous gourmand qu’on vous suggère vivement. Au 79 Quai de Valmy, c’est The Sunny Side qui prend le relais, et le nom annonce déjà la couleur. Tout aussi ensoleillée que le côté du canal où elle s’installe, c’est Yosra qui débarque avec son énergie lumineuse, sa machine à café, et l’envie de créer un lieu qui met de bonne humeur du petit déjeuner à l’apéro. Pas un coffee shop classique, mais un lieu vivant, joyeux, un peu déjanté, où l’on peut s’attabler avec un sandwich généreux, un espresso bien corsé ou une playlist qui donne la pêche.
Le rideau se baisse sur Rebelote, après trois ans et demi d’aventure menée par Tom Carlier et son frère. Ensemble, ils ont fait du 212 rue Saint-Maur un repaire vivant pour les amateurs de vin nature, de cuisine de saison et d’un esprit brut, sincère, sans concession. Ici, pas de fausse note dans le verre : chaque bouteille était choisie avec goût, selon une sélection tranchée et assumée. Un lieu où l’on se retrouvait autour d’une carte courte, de produits bien sourcés, et d’un droit de bouchon joyeusement exercé à chaque table. Aujourd’hui, l’adresse tourne une page, mais garde son exigence. Une libellule prend le relais : légère, attentive, portée par l’envie de faire simple et bon. Derrière ce nouveau souffle, Virginie Dorr, qui ouvre Libellule avec la volonté de proposer une cuisine bistronomique, maison, élaborée à partir de produits locaux, bio et raisonnés. Rebelote s’en va, Libellule arrive. Le décor évolue, mais l’esprit reste : libre, précis, essentiel.
Palmiers aux murs, néons pastels et burgers 100 % végans : Naked Burger avait transformé ce coin de rue en micro-Californie gourmande, pop et solaire. Une adresse qui a régalé les amateurs de burgers à grand renfort de couleurs et de saveurs. Aujourd’hui le lieu change de ton, sans tourner le dos à la gourmandise. C’est Lartecono DaVinci qui s’installe au 1 rue de l’ancienne Comédie dans le 6ème arrondissement, un glacier italien qui mêle tradition méditerranéenne et innovation, en misant sur des ingrédients bruts, sans conservateurs, sans matières grasses… mais avec tout le plaisir. Déjà présent en Grèce, Lartecono DaVinci fait ici sa première escale parisienne, des parfums classiques comme inattendus, des sorbets gourmands et fruités, et une vraie maîtrise des gestes anciens, affinés par la technologie d’aujourd’hui. Un lieu où la glace devient un art, et où chaque cornet raconte une histoire.
Toute adresse signée Ephemera est une porte ouverte sur un autre monde. De la jungle enivrante en plein Paris aux forêts enchantées d’Angers, la restauration devient ici un véritable terrain d’exploration. Et ce n’est pas fini. Toujours en quête d’inattendu, l’équipe s’apprête à nous embarquer pour un nouveau voyage immersif. C’est du côté de la Porte de Versailles que ce prochain chapitre prendra vie, dans un lieu singulier que foodimmo a eu le plaisir de dénicher pour ses créatrices : Jade Frommer, Annaïg Ferrand et Lina Utzig. Un concept encore tenu secret, pensé pour surprendre, émerveiller, et réinventer la manière de vivre la cuisine. Après avoir plongé les Lillois au cœur d’un volcan en éruption dernièrement, que vont-elles imaginer cette fois ? On est impatients de le découvrir d’ici la fin 2025 !
Brick Lane s’en va, KROK débarque ! Ça bouge au 183 rue Saint-Denis : après avoir régalé Paris avec le meilleur de la street food londonienne, Brick Lane cède le comptoir à une nouvelle équipe. Mené par Uthman Sadaoui et sa maman Rezkia, le spot s’était imposé comme une adresse culte pour les amateurs de salt beef fondant, de hot-dogs généreux et réconfortants, de mac & cheese décadents… et de bonnes vibes, tout simplement. Aujourd’hui un nouveau chapitre bien grillé : KROK entre en scène. Derrière ce nom qui sent bon le beurre et le pain grillé, deux copains de toujours, Thomas Castille et Baptiste Baudelet, qui ont grandi ensemble avec une idée en tête : monter un projet qui leur ressemble. Et ce projet, c’est le croque-monsieur. Ici, on est loin du croque classique expédié en deux bouchées : un croque repensé, twisté, cuisiné avec un chef, décliné en recettes créatives et ultra gourmandes. Même adresse, nouvelle ambiance : plus que jamais, ça va croustiller rue Saint-Denis.
En plein coeur du Quartier Latin, à l’angle de la rue Thouin et de la rue du Cardinal Lemoine, impossible de passer à côté du Descartes et de son fier store rouge.Dans cette brasserie typique, étudiants, touristes et habitués du quartier se retrouvent à toute heure pour profiter de la belle terrasse ensoleillée de 40 places.
Après une décennie passée à philosopher derrière le comptoir en zinc, Serge Avice prend une retraite bien méritée et passe la main à Junli Jia.